Un parachutiste professionnel raconte comment la pratique de ce sport a commencé. «J'avais l'habitude de faire du parachutisme sportif et, à une occasion, je me suis posé une question: que se passerait-il si la première cloche ne s'ouvrait pas et que je devais tirer sur la cloche d'urgence? Cela ne s'était jamais produit et j'avais des doutes sur ma capacité à réagir. Un jour, j'ai pris la décision de provoquer cette situation. J'ai donc délibérément commencé à mal replier le parachute et je me suis jeté une, deux, trois, quatre fois, mais il a toujours gonflé jusqu'à ce que finalement, la sixième fois de l'après-midi, j'ai obtenu ce que je voulais: le capot ne s'est pas déroulé. Au lieu d'ouvrir l'urgence sur place, j'ai réalisé une petite chute libre. Au bout de quelques secondes, j'ai laissé tomber le niveleur et j'ai ouvert le parachute d'urgence, j'étais très satisfait ... "
«Je saisis la petite proie avec une main droite et place le bout de mon pied gauche dans la minuscule échancrure que l'eau a creusée dans le mur. De l'autre main, j'atteins à peine le trou où seuls les doigts entrent. Pendu uniquement à eux, je dois me surpasser pour atteindre la minuscule rigueur que présente ce mur extra-plombé. Avant d'exprimer la montée, je répète mentalement les mouvements plusieurs fois. Le moment venu, j'étale de la poudre de magnésium sur mes mains pour éviter que la transpiration ne me fasse glisser.